
Les vins Colvert à la Table du Bonheur : un accord évident avec la cuisine du vivant
C’est toujours une joie de voir nos vins trouver leur place dans des lieux qui partagent nos valeurs. Depuis peu, les cuvées Colvert sont disponibles à La Table du Bonheur, l’une des adresses emblématiques de l’Auberge de la Fenière, à Lourmarin. Un lieu unique, à la fois ancré dans la terre de Provence et ouvert sur le monde, porté par une vision joyeuse, engagée et inclusive de la cuisine.
Une table singulière, où l’émotion prime
À la Fenière, on ne parle pas simplement de gastronomie, mais de cuisine du vivant. La cheffe Nadia Sammut, accompagnée de sa mère Reine, pionnière de la cuisine sans gluten en France, y défend une approche sensorielle et éthique du goût. Ici, tout est maison, de saison, sans gluten, et souvent bio. Mais l’essentiel est ailleurs : dans la liberté de créer, dans l’attention au geste, dans la recherche de l’émotion.
La Table du Bonheur, au cœur de cette auberge familiale devenue institution, incarne cette cuisine décomplexée et sensible. Les assiettes racontent des histoires de territoire, de producteur.rice.s, de textures et d’équilibres. On y célèbre la Provence, mais sans folklore : juste la vérité du goût.
Des vins vivants pour une cuisine vivante
C’est dans cet esprit que nos vins Colvert ont été choisis pour figurer à la carte. Cultivés sur les coteaux de Rognes, vinifiés naturellement, sans intrants ni artifices, ils partagent avec la cuisine de la Fenière une même philosophie : celle du respect du vivant, de la matière brute, du geste juste.
Nos cuvées en Rolle, Cinsault ou Grenache y trouvent un terrain d’expression idéal. Qu’elles accompagnent un plat végétal, une création autour du poisson, ou une interprétation méditerranéenne revisitée, elles dialoguent avec les assiettes dans une même recherche de cohérence, de finesse et de liberté.

Une auberge pas comme les autres
L’Auberge de la Fenière, c’est aussi un lieu de transmission, de rencontres, d’engagements. On y parle d’inclusion, de formation, de sensibilité écologique et sociétale. On y accueille des stages, des retraites, des ateliers, où la cuisine devient un langage commun. Dans ce lieu hybride et inspirant, le vin est un prolongement de la table : il ne vient pas surjouer, mais accompagner, évoquer, relier.
Une fierté discrète, mais sincère
Pour nous, vignerons indépendants et artisans du vin naturel, voir nos bouteilles posées sur les tables de la Fenière est une forme d’évidence. Pas un aboutissement, mais une rencontre. Celle de deux mondes qui parlent la même langue : celle du vivant, de l’ancrage, du respect et de la créativité.
Si vous passez par le Luberon, poussez la porte de La Table du Bonheur. Vous y trouverez bien plus qu’un repas. Peut-être un écho à ce que l’on cherche toutes et tous, en cuisine comme en cave : du sens, du plaisir, et un peu de lumière partagée.