« Colvert, c’est pour moi une nouvelle approche des vins provençaux qui façonne des vins digestes, frais, dotés d’une énergie et d’une âme particulière. On ressent l’héritage bourguignon dans le travail de Marco, notamment dans les vins blancs, par cette envie de donner naissance à des vins « bien élevés » qui allient tension, identité de terroirs et de cépages, et complexité. Ce sont des vins francs, directs, qui s’expriment spontanément, sans ambiguïté, sans fard ni artifice, à l’image du vigneron finalement. Je suis le travail de Marco depuis le début de l’aventure et je suis admiratif de sa persévérance et de son courage. Chaque millésime est un nouveau défi pour lui, une remise en question. »
Matthieu Mondesert
Co-fondateur Demainlesvins.com
« La cuvée RC de Colvert, c’est vraiment un petit bijou. Marco, il a cette touche unique, ce côté bourguignon qu’il ramène en Provence et ça se sent direct dans ce Rolle. C’est frais, tendu, avec une belle minéralité et des notes d’agrumes qui claquent bien en bouche. Ce que j’adore avec ce vin, c’est sa simplicité, mais derrière, tu sens tout le travail, toute l’attention. Marco, il vinifie avec sincérité, sans triche, et ça donne un vin qui te parle direct. Chaque millésime, il se remet en question et franchement, ça se ressent dans cette cuvée. C’est du plaisir pur, mais qui reste en mémoire. »
Fred
Restaurant Les Vielles Canailles
Aix en Provence (13)
« Voici la première cuvée en rouge élaboré par Marco à la Ribière ! Les vignes de Grenache noir furent vendangées à la main à la rosé du matin, puis la fermentation a débuté à 80% en grappes entières, foulées aux pieds. La macération douce s’est prolongée durant 10 jours, avec un léger pigeage journalier. Le vin fut ensuite pressé doucement, puis transféré dans un fût de 228 litres durant 6 mois. (oui oui, un seul fût ! quantité très limitée cette année !!). Il en résulte un vin rouge gourmand et légèrement boisé, souple et sérieux à la fois, le compagnon idéal à déguster près de la cheminée lors des journées froides d’automne. »
Sindie Goineau
Journaliste en sommellerie
